L’hibiscus

Une question d’énergie : Coucou n° 415 du 20 août 2018

par Carole Braéckman

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Coucou,
me revoilà après un long temps d’absence en grande partie dû à des aléas de connexion...

Pendant cette période de panne, dans la mesure où j’avais annoncé à mon public quotidien que j’étais hors jeu, je me suis vraiment sentie libre...
et dois avouer... que je vous ai tout bonnement bien oublié(e)s... Oooh !!! (sourire)
Ma foi, ces vacances techniques furent bienvenues.

Je vous note quelques faits que je trouve assez stimulants.
Tout d’abord, j’étais, sans en avoir conscience, bien fatiguée. Et l’univers m’a fort obligeamment débranchée ! (Hum ! au sens strict du terme !)
Oui, décidément je décèle de la bienveillance, jusque dans les contrariétés de la vie...
Vous vous rappelez Matrix ? ou encore l’opposé du paranoïaque ?

Deuxième leçon de mes aventures :
Pendant cette trêve, toutes les messageries depuis mon site sont tombées en carafe ! Plus moyen de me joindre par ce biais.
D’ailleurs, j’ai reçu, d’une manière générale, très peu de messages par rapport à l’accoutumé...
Et je crois bien également que la fréquentation de mon site a chuté.
J’explique cela par le fait que j’avais la tête ailleurs, j’étais totalement décentrée de vous.

Cela me rappelle une étonnante histoire. Il y a quelques années, j’accompagnai un groupe de chercheurs/chercheuses en authenticité dans le désert tunisien, et pour gérer l’intendance de mon lycéen de fils, j’avais trouvé chaleureux de convier mes parents à s’installer chez moi.
Pendant leur présence, mon père tint ’mon secrétariat’, ainsi qu’il me le rapporta à ma grande surprise, et me nota deux messages professionnels ! Il faut savoir que je veille toujours scrupuleusement à ma vie privée, et que mon téléphone personnel n’avait auparavant JAMAIS sonné pour des demandes de rendez-vous... J’avais un numéro dédié à cela. Mais je n’étais pas là pour marquer mes frontières - j’étais en train de me dissoudre dans le grand erg oriental (sourire).

J’en conclus que la vie va où notre énergie se trouve !
A méditer, vous ne croyez pas ? Moi, je suis toujours émerveillée de le constater !

Attention ! Je tiens à souligner : oui, j’étais absolument, et divinement, décrochée de vous ! mais cela ne signifie en aucun cas, une désertion de ma part.
Je vous aime toudi, ça c’est sûr !
Et peut-être mieux encore. Car j’ai grandi, vivi, lors de cette période de ressourcement imposé.

Alors ! ayé ! je suis de retour, vous pouvez m’écrire !
Pour les messages engloutis par mon site - depuis un bon moment, je crains - c’est tout simple :
si je ne vous ai pas répondu, c’est tout bonnement que je n’ai rien reçu !
N’hésitez donc pas à reprendre le fil...

Que votre soirée soit douce.
Carole.

© Carole Braéckman – www.lhibiscus.fr – août 2018








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