L’hibiscus

Port d’oies + Si tu n’étais pas là ! : Coucou n° 350 du 1er juin 2016

par Carole Braéckman

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Croire que c’est autrui qui vous empêche de vivre votre vraie vie, est un leurre que vous vous donnez obligeamment.
Vous seul(e) avez la capacité de vivre votre vie. Ou pas ! Le choix vous appartient !

Coucou vous !

L’autre jour, le long d’un jardin, quatre oies m’offraient leur profil gauche, altières, impavides... Elles m’ont sidérée, à ne pas même hausser un sourcil à mon passage !
Je n’ai pas pu déceler ce qu’elles fixaient (hypnotisaient, peut-être !) ainsi.
Mais je me suis dit qu’elles pourraient fort bien être citées en exemple de posture impériale.
De là, à vous dire de faire l’oie ! (sourire)
Ceci étant, un jour, je vous donnerai l’exercice de la poule ! Attention, vous ne le connaissez pas encore. Si si ! il est différent de celui du poulet trop cuit suggéré à la fin des méditations !
J’adore les oiseaux sauvages, mais, comme vous pouvez le constater, je n’ai aucun mépris pour les volatiles dits de basse-cour (sic !)

Ah sans toi ! ah ! si tu n’étais pas là ! Complétez comme vous voulez : je serais plus sage, plus tranquille, plus appliqué(e)...
Alors, j’ai une très triste nouvelle ! Si ladite personne n’était plus là, ou QUAND ladite personne ne sera plus là, vous ne serez pas ni plus sage, ni plus tranquille, ni plus appliqué(e)... vous inventerez autre chose, ou convoquerez une autre personne pour jouer la mouche du coche...
Car personne n’a le pouvoir de vous détourner de votre sagesse, de votre paix intérieure... cela relève de votre décision...
Et, de surcroît... il est fort probable que vous regrettiez amèrement la présence que vous jugez aujourd’hui importune, ou embarrassante, voire franchement casse-pieds !
Combien de fois, lorsque l’enfant a grandi, nous avons un pincement en évoquant le franc bazar qu’il laissait régner dans la maison ! Ou combien les jérémiades de notre grande tante vont-elles paradoxalement nous manquer... Les départs, les morts nous dessillent souvent sur notre réel attachement aux autres. Vous l’avez sûrement déjà constaté ?
Alors, reprenez votre responsabilité, prenez la décision de conduire votre vie, et aimez dès maintenant votre gêneur/votre enquiquineuse...
Ah ben oui, ce n’est pas facile ! Je vous crois ! Nous en sommes tous et toutes là ! figurez-vous !

Très jolie fin de soirée à vous ! Ou journée pimpante !
Carole.



© Carole Braéckman – www.lhibiscus.fr - juin 2016

Dans le même ordre d’idée, celui de faire porter la responsabilité à autrui, allez lire A cause de toi !








(Renoncer à) Pardonner
Chemin de libération


Pardonnez ou non ! mais délivrez vous de ces poids qui vous entravent !
Un livre de consolation. Pour vous...

 

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